(méfiez-vous des imitations et des impostures)
Notre collectif de sociétaires de la Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC) du Média existe depuis 2021.
Informel et à géométrie variable, il accueille qui veut et qui peut, en fonction des envies et disponibilités, sur la base de la volonté de soutenir le projet coopératif du Média et en référence à son manifeste fondateur (ce qui n’exclut pas la critique).
Actuellement, deux membres fondateurs sont encore les principaux contributeurs du collectif, qui a néanmoins vocation à s’élargir.
Michèle B
Ancienne modératrice du forum et du chat YouTube du Média, actuellement présidente du Conseil de surveillance
Serge Victor
Ancien modérateur du forum du Média, correspondant citoyen et membre du groupe de soutien aux bénévoles, actuellement élu au Conseil de surveillance
Toi ?
Tu es socio du Média ? Rejoins les Socios Engagé·e·s !
Vous ?
Vous n’êtes pas encore socio du Média ? Ça ne vous empêche pas de participer.
La véridique histoire des Socios Engagé·e·s
Dès la mise en place du forum du Média, à l’été 2019, des « socios » (à l’époque adhérents de l’association « Le Média ») particulièrement impliqués ont oeuvré collectivement à sa co-construction, participant aussi bénévolement à sa modération, à la rédaction de sa charte, à son animation, à sa promotion, au dialogue entre les « socios » et l’équipe des salarié·e·s du Média…
Lors de la crise qui a éclaté en 2020 entre Denis Robert et une grande partie de la rédaction du Média, ce petit collectif de socios a choisi de soutenir les revendications de la Société des Rédacteurs du Média et des salarié·e·s de la section SNJ-CGT.
Alors que des partisans de Denis Robert s’étaient organisés pour troller le forum et avaient publié sous le nom de « Socios Engagés » un communiqué expliquant pourquoi ils quittaient le Média, notre collectif décida en janvier 2021 de riposter par un contre-communiqué sous le nom de… « Socios Engagés ». Il s’agissait de ne pas laisser à des gens ayant annoncé publiquement leur rupture avec le Média et leur soutien à un projet désormais concurrent (le projet personnel de Denis Robert qui allait devenir la chaîne Blast) le monopole de l’usage d’un terme si trompeur dans ces conditions.
Nous qui restions attachés au projet de coopérative sur le point de se concrétiser officiellement, nous étions toujours « socios » et réellement « engagé·e·s » en faveur de cette structure, bien plus que celles et ceux qui la désertaient par allégeance envers une personnalité.
Notre collectif ainsi constitué autour d’un noyau dur de 3 personnes (d’autres socios également signataires du communiqué participant plus ponctuellement), en bonne entente avec le salarié responsable des relations avec les socios, ne s’est pas arrêté à cette action défensive et s’est ensuite lancé dans la promotion de la coopérative, avec des visuels décalés et mordants reprenant les codes de la pop culture, des pastilles vidéos, des zapings, des tweets, des posts sur Facebook, des interviews sur Twitch de salarié·e·s du Média, des reportages, la diffusion d’inédits du Média, l’aide à la tenue du stand du Média à la Fête de l’Humanité 2022, l’aide à l’organisation de la Fête d’anniversaire du Média en 2023…
Notre collectif a aussi participé activement aux travaux d’ateliers autour du projet coopératif lancés par les socios cooptés à l’AG de l’association du Média puis au Conseil de surveillance transitoire de la SCIC.
2024 : nouveau départ
En 2023, notre collectif s’est opposé à certaines décisions du directoire du Média et a émis des critiques envers des dysfonctionnements dans la structure, notamment le verrouillage, la censure puis l’invisibilisation et même la disparition pendant plusieurs mois du forum du Média que nous avions participé à construire, à modérer, à animer et à promouvoir. Mais alors que deux membres sur trois de notre noyau permanent ont choisi la critique constructive et l’engagement opiniâtre dans les instances coopératives malgré l’obstruction du directoire, le troisième membre, Antoine Dopalet (pseudonyme par lequel il s’est révélé lui-même comme ex-membre de notre collectif), est devenu de plus en plus hostile au projet lui-même et, suite à un désaccord pourtant facile à surmonter, a saboté, volé ou détruit les outils communs ! Il persiste aujourd’hui à utiliser certains de nos anciens comptes de réseaux sociaux alors qu’il n’a pris part à aucune de nos initiatives en 2024 et que ce qu’il y publie sporadiquement ne reflète aucunement le point de vue commun du collectif.
Non seulement nous remontons la pente, mais nous comptons bien aller plus haut…
FAQ
Antoine Dopalet est-il le « créateur » des Socios Engagé·e·s, comme il le prétend aujourd’hui ?
Non. Antoine a été un des fondateurs du collectif, à partir du groupe de « l’atelier du forum » qui existait avant sa venue. C’est lui, certes, qui a eu l’idée de reprendre le nom « Socios Engagés » à un groupe de partisans de Denis Robert, et il a joué un rôle important par la suite dans le collectif, notamment en créant un « zapping » (montage hebdomadaire des meilleurs moments des programmes du Média), en administrant certains de nos comptes de réseaux sociaux (comptes Twitter, Mastodon ou Twitch, en particulier) mais il n’a pas créé le groupe. Ce n’est pas lui qui a initié les visuels, ni créé la page Facebook, ni la chaine YouTube, ni initié les pastilles sonores ou les reportages, par exemple. Et en 2024, il a boudé toutes nos initiatives (Communiqués de socios réclamant la démocratisation de la coopérative, Discord « Sauvons le Média », propositions de résolutions pour l’AG de juin…).
Les Socios Engagé·e·s représentent-ils « les socios du Média » ?
Non. Nous n’avons jamais eu une telle prétention. Nous sommes des socios parmi d’autres, particulièrement investis, y compris dans les instances de la coopérative, mais nous ne parlons qu’en notre nom, contrairement à Antoine, notre ex-camarade qui, sur les comptes X, Mastodon ou Instagram qu’il nous a volés se présente frauduleusement comme « compte original des sociétaires du Média » (sic).
Les Socios Engagé·e·s sont-ils de vraie·e·s sociétaires du Média » ?
Oui. Les (vraie·e·s) Socios Engagé·e·s sont sociétaires de la coopérative du Média, détenteur·ice·s de parts sociales de la SCIC et à jour de leur abonnement. Ayant été purgé·e·s des « Volontaires » (bénévoles conventionnés) par le Directoire, iels font désormais partie de la catégorie des « Socios » et siègent actuellement au Conseil de surveillance, où iels ont été élu·e·s par l’AG en juin 2024 après avoir été tiré·e·s au sort parmi les candidat·e·s issue·e·s du collège des Socios.
L’ex-camarade qui a volé nos anciens comptes X (Twitter), Mastodon et Instagram avait, lui, plusieurs fois signifié son intention de se désabonner après l’AG et affirmé qu’il ne croyait plus du tout à la possibilité de faire vivre le Média, dont il jugeait négativement toutes les actions depuis des mois sans que jamais rien ne trouve grâce à ses yeux. Il nous avait même dit ne plus regarder les programmes du Média. Nous ne savons donc pas s’il est toujours socio à ce jour. Mais ce qui est certain, c’est qu’il n’est plus « socio engagé », même s’il continue à en usurper le nom avec trois de nos anciens comptes.
Sur certains réseaux, il existe plusieurs comptes des Sociaux Engagé·e·s. Sont-ils authentiques ?
Notre ex-camarade Antoine a volé au collectif nos anciens comptes X (Twitter), Instagram, Mastodon (il a aussi fermé notre ancien compte Twitch et saboté notre ancienne page Facebook). Il les utilise contre notre gré pour dénigrer le Média d’une façon qui n’engage plus que lui et que nous désapprouvons. Pour nous démarquer de son imposture, nous avons créé de nouveaux comptes X, Instagram et Mastodon, et renouvelé notre logo, aux couleurs actuelles du Média, avec comme avatar un Sisyphe remontant sa pierre (la métaphore parle d’elle-même). Quand il l’a vu, l’imposteur a carrément volé notre nouveau logo, et poursuivi son imposture en nous suivant sur des réseaux (Threads, Bluesky, Linktree) où il n’avait jamais rien fait pour notre collectif avant le sabotage. L’imposteur reste reconnaissable au fait qu’il a conservé notre ancien avatar (des mains qui s’emprisonnent par les poignets) tandis que nous avons notre résilient Sisyphe.
Nos vrais comptes sont reconnaissables aussi au fait qu’ils servent toujours à soutenir positivement le projet coopératif du Média et à promouvoir la chaîne, et qu’ils ne confondent pas critique et dénigrement. Alors que nous produisons des visuels, des reportages en manif et des articles (par exemple sur notre action au sein du Conseil de surveillance), Antoine ne fait que médire et se draper dans des postures de purisme révolutionnaire stérile d’ailleurs bien éloignées de sa vie réelle. Et enfin nous avons ce site qui demande un investissement et un travail que l’imposteur n’a plus aucune intention de consacrer à un Média dont il souhaite en réalité la mort.
Qui sont Ahmed, Flo, Kenza, Sandrine et Timotée ?
Personne. Ils ou elles n’existent que dans l’imagination d’Antoine, notre ex-camarade, qui s’abrite derrière ces identités fictives (ce n’est pas la première fois) pour faire croire que les comptes qu’il nous a volés sont toujours animés par un collectif de socios. Il n’en est rien. Antoine est seul dans son imposture, et n’étant plus impliqué dans aucune initiative au sein de la structure du Média, n’a plus aucun moyen de fédérer d’authentiques sociétaires de la coopérative.
Pourquoi relayez-vous parfois des productions de journalistes qui ne sont plus au Média ?
Nous soutenons le Média, notamment contre les prétentions financières indécentes de Denis Robert aux prud’hommes qui menacent l’existence-même de la coopérative. Mais nous n’avons rien contre Blast ni contre Les Chroniques de Françafrique de Thomas Dietrich, ni contre ce qu’accomplit Rémi-Kenzo Pagès au sein de l’AJAR, par exemple. Nous pouvons toujours apprécier le travail de certain·e·s journalistes qui ont quitté le Média, comme nous l’appréciions lorsqu’iels y travaillaient. Si nous sommes au courant de certains litiges existant, nous ne nous autorisons pas à communiquer sur des faits que les intéressé·e·s n’ont pas désiré rendre public.
Y a-t-il eu un « putsch » d’un « duo » au sein des Socios Engagé·e·s ?
Non. Depuis 2021, nous fonctionnions au consensus, chaque membre étant libre d’exprimer en dehors du collectif, sur ses propres supports, un point de vue personnel ne faisant pas forcément consensus dans le groupe, ou n’ayant pas vocation à refléter le point de vue commun.
En cas de désaccord, par exemple sur un visuel ou le contenu d’un tweet, il y avait discussion (a priori ou même a posteriori) puis éventuellement vote pour trancher à la majorité, comme dans tout collectif fonctionnant de façon démocratique. Dans un collectif de trois personnes, si deux personnes sont d’accord, elles ont la majorité. Il est arrivé par exemple que, dans le feu de l’action, l’un·e d’entre nous publie quelque chose sans avoir eu l’aval du groupe puis que ce soit supprimé après discussion collective. C’est justement ce qui s’est produit lorsqu’Antoine, notre ex-camarade, a non seulement voulu poster sans nous prévenir des tweets qui ne faisaient pas consensus, mais a fait le mort quand nous lui avons demandé de reformuler, et a ensuite crié à la censure quand nous avons supprimé le contenu qui nous posait problème.
Il nous a alors fermé l’accès au compte X (Twitter)… avant de carrément saboter ou supprimer une grande partie de nos outils, y compris les salons Discord sur lesquels nous avions stocké quantité de documents et d’archives, y compris le serveur Discord « Sauvons le Média » qui avait servi notamment à préparer l’AG 2024 du Média (travail auquel Antoine n’avait pris aucune part).
Bref, non seulement « le duo » n’a commis aucun putsch, réclamant juste qu’Antoine n’utilise pas les outils collectifs pour exprimer son point de vue personnel (qu’il était libre d’exposer ailleurs, en son nom, comme l’un de nous l’a fait très simplement sur son blog personnel), mais c’est bel et bien lui, et lui seul, qui a commis un putsch contre le collectif, en privant les deux autres membres de l’accès à des outils communs, puis même en sabotant ou détruisant nombre de ces outils.
Les Socios Engagé·e·s sont-ils l’instrument d’une sombre vengeance contre le Média ?
Non. Nous avons parfois des désaccords avec des décisions des instances de la SCIC (nous en avons eu de sérieux avec le Directoire en 2023 et 2024), ou avec d’autres groupes de sociétaires (comme celleux qui avaient finalisé la synthèse des travaux des ateliers de réflexion autour du projet coopératif en 2022). C’est normal en démocratie, et nous soutenons qu’il est possible d’en débattre. Nous nous efforçons d’ailleurs de maintenir les possibilités de débat même lorsque nous sommes muselés arbitrairement, et c’est pourquoi nous nous dotons de nos propres outils de communication (cela nous permet de contourner éventuellement les tentatives de censure).
Mais nous ne sommes à la solde de personne, et nous agissons dans le cadre de la structure et non contre elle, y compris en siégeant au Conseil de surveillance (depuis 2022 pour l’une d’entre nous, et depuis 2024 pour l’autre). Nos critiques sur le fonctionnement interne de la coopérative sont toujours constructives et appuyées sur des propositions concrètes, et nous oeuvrons au service de la structure et non contre elle. D’autres sociétaires ou même salarié·e·s avec qui nous avions coopéré naguère ont pris leurs distances avec la structure, voire lui sont devenus hostiles, mais ce n’est pas notre cas, et nous ne sommes à la solde de la revanche d’aucun·e « ex », quand bien-même pouvons-nous comprendre les déceptions et les griefs de certain·e·s, et ne pas renoncer au dialogue avec elleux.
Les Socios Engagé·e·s se sont-ils « vendus » au Directoire pour réintégrer le forum ou siéger au CS ?
Non. C’est le récit mensonger que propage notre ex-camarade Antoine mais cela n’a aucun sens. Nous avons protesté contre les bannissements abusifs (prononcés par le Directoire en 2023 en dehors de toute règle) et nous réclamons toujours la réintégration de tous·tes les banni·e·s, y compris Antoine. L’un d’entre nous qui avait été banni a été réintégré (contrairement à d’autres) lors de la remise en ligne du forum en février 2024 après avoir participé à une réunion de médiation organisée par le président du CS de l’époque. Il ne sait toujours pas pourquoi il avait été banni ni pourquoi il a été réintégré par le fait du prince (mais on peut supposer que le déroulé de la réunion ayant choqué jusqu’au président du CS, celui-ci a peut-être ensuite réussi à convaincre le Directoire de faire un geste), et il n’a cessé de protester contre ces pratiques arbitraires. Il a continué à formuler des critiques après sa réintégration et à subir de nouvelles menaces d’exclusion qui ont visé aussi une autre membre de notre collectif qui, elle, n’avait jamais été bannie (peut-être parce qu’elle siégeait déjà au CS ?). Lors des travaux de préparation de l’AG 2024 sur le serveur Discord « Sauvons le Média » (hélas détruit depuis par Antoine), nous avons rédigé avec d’autres socios des propositions de résolutions (dont une d’annulation de tous les bannissements), qui ont été refusées par le Directoire avec des arguments le plus souvent fallacieux (que nous avons réfutés sur le forum). Antoine n’a pris aucune part à ces travaux mais il les a vus et sait donc très bien que nous avons continué à cette occasion à tenir notre position critique, sans rien lâcher.
Quant à notre élection au Conseil de surveillance en juin 2024, elle s’est faite à la faveur d’un tirage au sort dont nous avons surveillé et filmé le déroulement (malgré les réticences exprimées par un membre du Directoire). Antoine aurait pu candidater aussi bien, et aurait eu autant de chances que nous d’être tiré au sort.
Les Socios Engagé·e·s utilisent les services des GAFAM pour promouvoir leurs activités. Est-ce bien, pas bien, incontournable, contre leurs valeurs ?
Le Média est diffusé sur YouTube (propriété de Google), utilise Facebook et Instagram (propriété de Mark Zuckerberg), ou X (propriété d’Elon Musk). Vivre, agir et militer sans recourir aux services et outils produits par de grands groupes capitalistes est sans doute une voie admirable, et de notre côté, en soutenant le modèle coopératif du Média, nous remettons bien en cause le modèle capitaliste. Mais le Média a aussi pour objectif de contrer l’hégémonie culturelle néolibérale, réactionnaire et autoritaire en touchant la plus grande masse. C’est regrettable, mais dans le monde réel, on ne touche pas les masses en diffusant uniquement sur Mastodon (où il faut être, néanmoins) ou en parlant avec un haut-parleur en bois dans les ZAD. Le Média assume donc d’utiliser des outils capitalistes pour remettre en cause le capitalisme. Et nous, sociétaires particulièrement engagé·e·s du Média, nous assumons aussi de le faire, et sommes donc présent·e·s sur des réseaux possédés et contrôlés par des milliardaires dont nous dénonçons néanmoins le pouvoir et l’influence. Nous sommes donc présent·e·s partout où nous pouvons toucher du monde (sur YouTube, Facebook, Instagram, Threads, X…). Cela pose un cas de conscience lorsque le propriétaire pousse le curseur de l’abjection vraiment très loin, comme Musk. Lorsqu’il a repris Twitter (devenu X) pour y réintroduire Trump, y favoriser les expressions fascistes et les clashs haineux, nous nous sommes demandé comme tout notre camp social s’il fallait continuer à y être. Pour l’heure, comme la plupart des médias indépendants, nous faisons le choix d’y rester et d’y soutenir nos idées. Mais le débat reste ouvert. Nous n’envisageons pas actuellement d’utiliser les services payants de promotion publicitaire sur X… parce que Musk, bien sûr, et parce que nous y sommes passé·e·s de 0 à près de 200 followers en 3 mois sans avoir besoin de cela. Il n’en est pas de même sur d’autres réseaux, où, après le sabotage et le vol commis par notre ex-camarade Antoine, nous avons dû redémarrer de rien, sans que nos publications parviennent dans un premier temps à être vues et sans récolter d’abonnements. Nous avons donc testé ponctuellement les services de sponsoring de Meta, une fois sur Facebook et une autre sur Instagram. Le fait est que cela nous a permis d’atteindre rapidement l’audience dont l’imposture d’Antoine nous avait spolié·e·s. Si nos revenus ne nous autorisent pas à user trop fréquemment de tels services, même par abnégation militante, nous ne nous interdisons pas à l’occasion de promouvoir à l’avenir aussi telle ou telle vidéo sur TikTok pour y faire monter notre nombre d’abonné·e·s. Le présent site internet est également hébergé chez un fournisseur d’accès payant, évidemment, et il ne s’agit hélas pas d’une coopérative dépourvue de but lucratif.
Nous comprenons parfaitement que des « virtuoses » de l’autonomie, pour reprendre les termes de Frédéric Lordon dans Vivre sans, fassent un autre choix, mais nous comprenons moins les élans d’hilarité feinte ou d’indignation outrée devant notre choix postés sur X (de Musk) ou Instagram (de Zuckerberg) depuis un appareil dernier cri fabriqué en Chine par Apple, via un fournisseur d’accès internet payant et appartenant lui aussi à un milliardaire.