D’après les syndicats, ce sont 300 000 manifestant·e·s de tous âges qui ont défilé sous un soleil radieux pour cette journée internationale des travailleur·euse·s marquée par le péril fasciste, le 1er mai 2025.
Grâce à notre boucle Telegram, nous avons pu recueillir des images des manifestations dans la France des tours et des bourgs, via nos correspondant·e·s Jonathan, Jean-Pierre, Benjamin-Florian, Tanguy, Michèle et Serge Victor à Angers, Pau, Tarbes, Lyon, Lons-le-Saunier, Dole, Arbois, Saint-Claude et Paris.
Lyon
Le cortège s’est rassemblé sur le cours Gambetta, puis s’est dirigé vers la place de la Guillotière pour atteindre la place Jean Macé en empruntant les quais du Rhône.

La manif du 1er mai à Lyon a réuni entre 6 500 (selon la préfecture) et 10 000 personnes (selon les organisateur.ice.s).
La Jeune Garde, groupe antifasciste menacé de dissolution par le ministre de l’Intérieur d’extrême-droite, Bruno Retailleau, a évidemment participé au défilé, en présence du député LFI Raphaël Arnault, venu en soutien.


Pau
Une petite mobilisation, environ un millier de personnes (ici c’est encore les vacances). Des slogans locaux comme « Bayrou menteur, protège les violeurs » repris en chœur.


Jura
Plusieurs rassemblements ont eu lieu, à Lons-le-Saunier, Champagnole, Saint-Claude, Arbois, et à Dole, pour la défense des services public, le soutien au peuple palestinien, et les droits des travailleur·euse·s.




Tarbes
Manifestation en présence de la députée LFI Sylvie FERRER.




Angers
Près de 1 500 personnes ont manifesté pour les droits sociaux, à l’appel d’une intersyndicale regroupant notamment la CGT, FO, FSU, Solidaires, l’Unsa, l’UNEF, l’Union Étudiante et la Confédération paysanne.

Paris
100 000 participant·e·s selon la CGT, pour une manifestation festive, musicale et colorée de Place d’Italie à Nation.



Retour sur la journée en vidéo
Voici notre montage pour YouTube, avec des interviews de Sylvie Ferrer, députée LFI des Hautes Pyrénées, Sarah Persil, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, et de plusieurs militantes du Jura.
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