Depuis le dernier épisode de notre série humoristique, notre anti-héros ridicule Antoine (notre ex-camarade devenu enragé) a encore fait des siennes en matière d’impostures, de mensonges, de rage stérile et d’obsessions haineuses contre le Média et nous-mêmes, les authentiques Socios Engagé·e·s.
Mesquin du monde
Non content de nous avoir volé nos anciens comptes Twitter, Mastodon et Instagram, d’avoir pompé notre nouveau logo aux couleurs violettes alignées sur la plus récente charte graphique du Média, puis d’avoir copié la mention « vrai·e·s » que nous avions accolée à notre nom pour nous démarquer de son imposture, Antoine a commencé l’année 2025 en copiant nos couleurs sur la photo de profil (les mains s’emprisonnant les unes les autres) des comptes avec lesquels il usurpe l’identité de notre collectif sur les réseaux, y compris X (ex-Twitter), que nous avons décidé de notre côté de quitter.
Cela montre bien que son but n’est pas seulement d’affirmer une autre ligne que la nôtre (ce qui serait bien son droit) mais bel et bien de tromper le public et de se faire passer pour nous. Lui qui nous traite fallacieusement de « putschistes » aurait pu justement se démarquer de nous pour exposer sa différence et éviter que des gens convaincus par ce qu’il dit (si d’aventure il s’en trouvait) ne nous suivent sur les réseaux en nous prenant pour lui. Mais il fait tout, au contraire, pour nous copier et entretenir la confusion visuelle et sémantique.
Il n’a finalement même pas vraiment de ligne à défendre. C’est juste un catfish.
Quelle que soit la couleur, pour nous reconnaître, il y a un moyen simple : nous publions sur notre site et sur les réseaux des reportages et des visuels pour promouvoir la coopérative du Média, tandis que l’imposteur ne fait que poster des attaques contre le Média qui, au mieux, enfoncent des portes ouvertes, au pire, relèvent de la plus vile calomnie. Depuis juillet 2024, date à laquelle Antoine nous a volé plusieurs de nos anciens comptes et a saboté nos outils, nous avons publié sur notre chaîne YouToube un petit clip de promo du Média et 6 montages de reportages en manif, nous avons publié d’autres reportages sur notre site, ainsi que des threads de manif sur nos nouveaux comptes X, Threads, Mastodon, et Bluesky. En plus des photos de manifs, des rediffusions d’anciens visuels, nous avons posté sur notre nouveau compte Instagram 34 visuels inédits faisant la promotion du Média à l’aide de détournements de codes de la pop culture. Sur nos différents comptes, nous avons relayé de nombreuses vidéos du Média.
Pendant ce temps-là, Antoine a relayé une seule vidéo du Média, le 27 août 2024 (pour laisser entendre que tous les autres programmes étaient « de la radio filmée »), n’a réalisé aucun visuel de promotion du Média, n’a effectué aucun reportage.
Le slogan « Soutien vigilant au projet coopératif » mis en exergue sur ses comptes a perdu avec le temps toute crédibilité. Depuis des mois, il n’y a pas un mot de soutien au projet coopératif du Média dans les posts qu’il multiplie. Et celleux qui les lisent ont très probablement remarqué une obsession récurrente : attaquer les deux socios à qui il a lui-même porté préjudice, dans des contorsions rhétoriques basées uniquement sur son ressentiment.
Toutes les initiatives du Média (candidature à un canal TNT, contestation de la décision de l’ARCOM, diffusion sur Molotov…) n’ont fait l’objet que de sarcasmes et dénigrements de sa part. Il s’est réjoui du fait qu’Aude Lancelin ait réussi en appel à extorquer 60000€ au Média, s’est fait un film sur un financement du Média par le banquier Pigasse… Toujours à l’affût du moindre signe de crise au sein du Média, il en a fait des tonnes lors du départ de Cemil… dont il ne s’est plus jamais soucié depuis. Un socio avait-il émis une critique ou même une simple remarque dans le forum du Média ? Une capture d’écran se retrouvait aussitôt sur un des faux comptes tenus par Antoine comme trophée de sa chasse. Et n’ayant finalement pas grand chose à se mettre sous la dent, il en a été réduit à disserter en quatre tweets sur l’absence de référence au Média dans un podcast de Streetpress sur les médias indés.
On s’attendait donc à ce qu’il publie bientôt un thread sur l’absence de référence au Média dans Sur la télévision de Bourdieu ou même dans L’Odyssée d’Homère, mais en janvier 2025, après un morne début d’année, Antoine a enfin pu se refaire la cerise avec un tweet de Thomas Dietrich énervé de voir comme invité sur le plateau du Média un homme qu’il accuse d’avoir exercé autrefois un chantage sordide contre lui et son épouse. Quelques jours plus tard, l’imposteur publie notamment sur Mastodon une attaque contre la direction, les salariés, et les socios membres du Conseil de Surveillance… qui comprennent les deux membres fondateurs de notre collectif des authentiques Socios Engagé·e·s.
Cette accusation d’indifférence générale est non seulement inepte, car l’affaire relatée par Thomas Dietrich est complexe, et il est évident que les salarié·e·s du Média, et à plus forte raison les socios pas spécialistes des barbouzeries de la Françafrique et des arcanes du régime tchadien, n’ont pas moyen de savoir quel rôle exact a joué cet opposant tchadien (un temps rallié au régime de Déby) dans les menaces qui pèsent sur Thomas et sa famille ni si Théophile Kouamouo sait et pense quelque chose de cette affaire et aurait dû s’interdire d’inviter ce monsieur pour parler de la situation actuelle du Tchad… mais l’accusation à notre encontre est aussi mensongère car, en réalité, nous ne sommes pas resté·e·s indifférent·e·s et avons réagi de notre côté sur X, avant l’imposteur lui-même d’ailleurs, au tweet de Thomas Dietrich (c’était avant que nous ne décidions de laisser tomber ce réseau propriété du fasciste Musk).
Précisons que nous n’avons reçu à ce jour aucune réponse à notre demande d’explication.
Un hobby créatif pour Antoine, vite !
Toujours à l’affût du moindre os à ronger pour médire du Média, Antoine s’est jeté goulûment sur un tweet de Lisa Lap, journaliste du Média, le 14 janvier 2025. Elle y évoquait la mysogynie et le mépris de classe auxquels sont confronté·e·s les journalistes.
Aveuglé par sa haine anti-Média, Antoine dégaine illico, interprétant le tweet de Lisa à l’aune de sa hargne.
Manque de bol, le rageux avait compris de travers : le propos de Lisa ne visait pas du tout le Média !
Mais la mise au point se poursuit sur Bluesky avec quelques échanges édifiants de « skeets » (l’équivalent des tweets sur ce réseau).
De notre côté, on est d’accord avec Lisa, et on aimerait bien qu’Antoine se trouve un hobby créatif au lieu de se vautrer dans de déshonorantes impostures. Il était plutôt doué pour la photo. C’est dommage qu’il ait mis en pause le compte Instagram où il publiait ses clichés. Peut-être parce qu’il ambitionnait de les vendre comme NFT et n’y est jamais parvenu ? Car oui, notre apôtre de la pureté révolutionnaire pourfendeur du banquier Pigasse et des comptes X payants (sauf quand c’est Thomas Dietrich) voulait vendre des NFT de ses photos. Les NFT, c’est quand-même le truc le plus stupide que le capitalisme ait inventé.
Quitte à faire quelque chose de stupide et nuisible, si c’est vraiment cela qui peut sortir Antoine de son ennui, qu’il spécule sur les bitcoins. Cela lui rapportera peut-être plus que de chercher à nuire au Média et aux Socios Engagé·e·s.
Imposteur, menteur, seul et lâche
Alors que Lisa Lap venait de lui mettre le nez dans son délire malsain, Antoine, lâchement, au lieu d’assumer ses actes, a ressorti son mensonge le plus grotesque : ce ne serait plus lui qui gérerait les comptes qu’il nous a volés mais une prétendue « nouvelle équipe ».
Cette fable n’a aucune réalité. C’est bien Antoine, seul, au style et à l’absence de sens moral si reconnaissables, qui est toujours aux commandes. Il se trahit d’ailleurs lui-même en nous désignant sous le terme « nos anciens camarades putschistes ». Or, nous n’avons jamais rencontré aucun « Ahmed, Flo, Kenza, Sandrine, Timotée », personnages inventés par Antoine pour faire croire qu’il laissait la main à une « nouvelle équipe ». Si ces personnes existaient vraiment et qu’Antoine, par miracle, avait pu les recruter pour leur donner les clés de nos anciens comptes après nous les avoir volés, ces gens parfaitement inconnus au bataillon ne nous appelleraient pas « nos anciens camarades » mais « nos prédécesseurs » ou « les anciens camarades d’Antoine, notre prédécesseur ».
S’il est déjà parfaitement invraisemblable qu’Antoine ait pu avoir le temps de recruter de nouveaux « camarades » entre le 13 juillet 2024, date de son putsch (quand il nous a retiré l’accès aux anciens comptes Twitter, Instagram et Mastodon des Socios Engagé·e·s, ainsi qu’à nos serveurs Discord) et le 12 août 2024, date de l’annonce de l’arrivée de sa prétendue « nouvelle équipe », il est de surcroît tout à fait impossible qu’il ait pu recruter de nouveaux socios sans passer par le seul espace de rencontre des socios : le forum du Média. Or, Antoine est resté banni du forum jusqu’en octobre 2024, et bien que nous sachions qu’il utilise un autre compte pour continuer à épier ce qui s’y fait, nous n’y avons vu personne lancer un recrutement pour une « nouvelle équipe » de Socios Engagé·e·s concurrente de la nôtre (et bien sûr, nous ne l’avons jamais vu lancer non plus d’appel sur les réseaux). Et il y a évidemment 0% de chance pour que des socios soient entré·e·s spontanément en contact avec Antoine pour postuler à une reprise des anciens comptes des Socios Engagé·e·s à des fins de médisance contre le Média et deux socios. De notre côté, nous avons recruté de nouveaux membres sur notre boucle Telegram pour faire quelque chose de positif : mettre des images et des infos à la disposition de la rédaction du Média. Nous avons bien conscience que nous n’aurions trouvé personne si tout ce que nous avions eu à proposer était de médire.
Pour la peine, on remet cette vignette :
Ajoutons qu’une vraie « nouvelle équipe » n’aurait aucune raison d’épier le forum sans jamais intervenir dans les débats qui s’y déroulent ni de faire des allusions aigries à notre rôle au sein du Conseil de surveillance, et encore moins de faire des allusions à des choses dont seul Antoine a pu avoir connaissance (par exemple, le 4 février, il affirme entre diverses allusions à des problèmes internes du Média, qu’une journaliste « a toujours été une source de tension », chose qu’un ancien Socio Engagé proche d’un ancien directeur du Média peut dire, mais certainement pas une « nouvelle équipe » sortie de nulle part à l’été 2024). Antoine, puisqu’il s’agit bien de lui et de lui seul, sait bien que s’il vient faire son numéro sur le forum, il nous sera facile d’y démonter ses mensonges, même s’il s’affuble d’un nouveau faux nez. C’est pourquoi on ne l’y voit plus, pas plus qu’on n’y voit ses personnages fictifs Ahmed, Flo, Kenza, Sandrine ou Timotée, évidemment.
Obsession
Essayant désespérément depuis l’été 2024 de faire du bad buzz au sujet du « milliardaire » (sic) Pigasse qui aurait « financé le Média » (c’est faux, comme nous l’avions expliqué dans le premier épisode des « Impostures d’Antoine »), Antoine s’est aussi rué (pour nourrir son obsession) sur un compte-rendu de réunion entre le Directoire et le Conseil de Surveillance publié sur le forum.
Ayant lu « fonds de dotation », l’obsédé a pensé aussitôt « milliardaire ». S’il ne venait pas sur le forum que pour épier à des fins de nuisance, il aurait pu simplement poser lui-même la question qu’il accuse bêtement les membres du Conseil de surveillance de ne pas avoir posée. En réalité, nous n’avons même pas eu à poser la question puisque le Directoire n’a pour le coup fait aucun mystère de l’origine de cet argent qui ne vient pas d’un « milliardaire » ni même du millionnaire Pigasse mais d’un fond communiste libertaire qui avait déjà été évoqué par le Directoire lors de la dernière AG du Média. C’est sûr qu’un coup de main d’un anarchiste qui utilise un héritage pour aider une coopérative, ça ne colle pas trop avec les procès en trahison d’Antoine. Mais son but étant juste de nuire, la vérité lui importe peu.
Elle nous importe à nous, c’est pourquoi nous prenons la peine de debunker les impostures d’Antoine.
A suivre, hélas (à moins qu’Antoine ne se trouve un hobby créatif ?)…
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