To feed or not to feed (the troll) ?
Après un premier article pour inviter les Socios et soutiens du Média à se méfier des impostures, un deuxième article pour nous démarquer des agissements abjects d’Antoine, notre ex-camarade qui continue à usurper notre identité sur les réseaux, nous espérions vraiment ne plus avoir à consacrer une ligne sur ce site aux pitreries déshonorantes de ce pauvre troll.
Avouons-le : nous espérions qu’il finisse par se lasser de ce manège insensé et qu’il trouverait mieux à faire de sa vie que de continuer à s’avilir dans cette croisade grotesque contre le Média et cette tentative dérisoire de sabotage et de parasitage de notre travail.
Mais le bougre ne semble plus capable de s’arrêter. En d’autres temps, nous l’avions vu parfois s’enfoncer dans des provocations absurdes dont il n’arrivait plus à se sortir et dont lui-même finissait par ne plus saisir le sens. Par exemple, sur le forum du Média, pour on ne sait plus quelle raison, il s’était mis un jour à publier des résultats de matchs de football, s’enfermant par moquerie (de qui ou de quoi ? Personne n’a vraiment compris) dans un rôle dont il n’arrivait plus à sortir. Il s’était retrouvé à publier ainsi régulièrement des résultats de matchs dont personne n’avait rien à faire, ne suscitant donc aucun commentaire et le laissant seul avec son imposture (car bien évidemment, il n’en avait en réalité rien à cirer du foot). Il avait fini tout de même par nous écouter et convenir qu’il valait mieux arrêter ce cirque. Aujourd’hui, il semble prisonnier du même mécanisme, mais ne nous écoute plus. Et visiblement, personne, pas même Thomas Dietrich à qui il rend (ou a rendu) des services pour sa chaîne Chroniques de Françafrique, n’a essayé ou réussi à lui faire entendre raison.
Des commentaires incisifs et sarcastiques dans les réseaux sociaux, destinés à mordre l’adversaire ciblé au détriment d’une réflexion basée sur l’analyse, c’est le mode d’action revendiqué par Antoine qui n’a jamais fait consensus dans notre groupe car ce mode d’expression est forcément réducteur. Chaque fois que nous avons apporté notre point de vue sur un tweet que nous considérions malvenu, hasardeux, inexact ou inapproprié, pour discuter de son bien-fondé, de la véracité des propos, du but recherché, Antoine a refusé le débat, considérant de façon enfantine qu’on lui faisait la morale, et rejetant nos analyses sans les lire avec la formule : «C’est.Trop. Long.» ou « je ne pense pas que (mon tweet) nécessite une imprimatur du politburo ». Or, un collectif ne peut délibérer valablement qu’en ayant appréhendé une situation ensemble et entendu tous les points de vue. Sans cet exercice indispensable, il n’y a pas de cohérence. En imposant son point de vue minoritaire et en nous bloquant pour imposer sa vision, Antoine a cassé le collectif. Mais peut-être tout ceci n’est il qu’un jeu pour Antoine, un jeu toxique destiné à provoquer. Peu lui importent les conséquences sur les gens de ses pseudo « révélations fracassantes » et ses prédictions cataclysmiques qui avec le temps se sont révélées inexactes, du moment qu’il attire l’attention. Il s’amuse à présent tout seul, mais s’amuse t il vraiment ?
En tout cas, nous, sa nuisance ne nous amuse pas, mais nous préférons tout de même rire du ridicule de ses mensonges. Nous avons évité durant un moment de réagir à ses provocations, selon le précepte « don’t feed the troll », mais puisque cela ne fonctionne pas, et qu’il continue, eh bien nous allons gaver la bête autant qu’il le faudra, dans une chronique à épisodes qui debunkera régulièrement les dernières turpitudes d’Antoine. Cela restera accessible sur ce site et opposable à ses mensonges auprès de quiconque se laisserait abuser. Comme il produit beaucoup de bullshit, et que nous connaissons la loi de Brandolini, nous ne réfuterons que notre propre sélection de son baratin. Libre à quiconque de nous suppléer pour les fadaises que nous aurons délaissées. En cas de demande pressante ou de nécessité impérieuse, nous nous autorisons aussi à redescendre ultérieurement sur des ordures oubliées.
Impostures et mensonges a gogo
Le 29 octobre 2024, par exemple, Antoine publiait sur ses réseaux de faux « socios engagé·e·s » « l’info » capitale suivante :
Il est toujours plaisant de le voir nous traiter de « putschistes » alors que c’est lui qui a soudain détruit ou volé tous nos outils collectifs après qu’on lui a juste dit un jour de ne pas publier des choses contestables en notre nom sans notre accord. Mais surtout, une fois de plus, il ment en prétendant que tous les socios banni·e·s du forum du Média (et dont nous nous félicitions du débannissement) « ont cessé d’être socio ». C’est totalement faux. Un socio, un seul, est assurément dans ce cas. Mais un de nos membres banni en novembre 2023 et réintégré en février 2024 est bel et bien toujours socio, et nous avons récemment interviewé pour la Commission du Conseil de surveillance du Média dédiée à la relance du bénévolat deux autres socios également banni·e·s à la même époque (bannissement enfin levé en octobre 2024), et contrairement à ce que dit ce gros mytho d’Antoine, il et elle nous ont confirmé qu’il et elle sont bien toujours socios. Reste un cas : Antoine lui-même. Lui aussi a été banni en novembre 2023 et le compte que nous lui connaissions n’est plus banni à ce jour… mais il ne s’est plus connecté depuis cette époque. On pourrait en conclure qu’Antoine, effectivement, n’est plus socio, ce qui serait logique étant donné le degré de rage contre le Média dont il témoigne. Et pourtant, il dit bien que nous avons parlé « sur le forum des sociétaires du Média » de la suppression des bannissements. C’est donc qu’il a eu lui-même un accès de sociétaire à ce forum et qu’à sa manière tordue, via un deuxième compte, sous un autre nom que son vrai nom (qui n’est pas Antoine non plus, mais on ne va pas le doxer), il est resté socio. Juste pour nuire, certes. Mais socio quand-même. « #hypocrite », qu’il disait, avec son culot de menteur invétéré et moralement invertébré.
A ce stade, nous pouvons avoir un moment de compassion pour ce pauvre troll qui s’oblige à payer un abonnement à un média dont il souhaite la mort. Ça doit être douloureux, tout de même.
L’imposteur est pris dans un engrenage. On modifie notre logo, il nous le vole. On ajoute « vrai·e·s » à l’intitulé de notre compte « les socios engagé·e·s », il l’ajoute aussi. Désormais piégé par son imposture, seul dans une illusion de collectif composé d’identités inventées pour la circonstance, prisonnier de ses obsessions, dépourvu de tout objectif à part essayer de nuire, son unique activité est de se concentrer sur la victime qu’il a ciblée, à savoir le Média, dans une tentative désespérée d’attirer des mécontent·e·s (il y en a toujours) sans faire aucune proposition digne d’intéresser un public. A qui s’adresse t-il à vrai dire, lui qui est depuis de nombreux mois en dehors de la communauté des socios, et qui a totalement décroché du Média ? A qui destine-t-il sa pseudo-vigilance ? Celleux qui ne s’intéressent pas au Média n’en ont rien à faire, celleux qui soutiennent le Média en savent au moins autant que lui sur son fonctionnement, et celleux qui sont plus directement impliqué·e·s dans le soutien au Média n’ont que faire de ses alertes basées sur des insinuations, ses rapprochements douteux, et ses affirmations qui au mieux enfoncent des portes ouvertes et au pire ont pour unique but de tenter de faire du buzz. Le plus ridicule dans cette histoire est sa tentative de passer pour ce qu’il n’est pas ; le plus honteux est de s’approprier une identité en volant les comptes d’un collectif ; le plus pitoyable est de ne pas réaliser qu’à la base, le fait d’avoir volé la propriété d’autrui fait de lui un personnage sans aucune crédibilité, condamné à radoter et à s’enfoncer, seul, dans l’oubli. Nous le plaignons de ne pouvoir exister que dans la malhonnêteté intellectuelle.
Twitter/X : le sketch
(trigger warning : il y a du gros LOL)
Il y a quelques mois, Antoine a renoncé à un compte personnel qu’il avait sur Twitter/X, devenu une fange depuis le rachat par Elon Musk. C’est très respectable.
Mais bizarrement, alors qu’il commençait déjà à en faire des tonnes sur le fait que le Média ait toujours un compte sur X, il ne nous a jamais proposé de fermer le compte X des Socios Engagé·e·s. Pire, il s’est peu à peu avéré qu’Antoine entendait user de notre compte collectif pour s’y défouler comme il aurait pu le faire avec son compte personnel. C’est une des causes de sa trahison finale, d’ailleurs : il n’a pas accepté que nous lui demandions de ne poster avec le compte commun que des choses faisant consensus entre nous trois et d’arrêter de se servir de ce compte collectif comme d’un compte personnel. Après avoir changé les codes du compte collectif pour nous en interdire l’accès, il s’est mis à l’utiliser pour assouvir sa rage contre le Média (et contre nous) en prétendant avoir été remplacé par une « nouvelle équipe » qui n’a aucune existence réelle. C’est bien toujours le même Antoine, au style très reconnaissable, qui pilote seul, sans l’ombre d’un doute, le compte X qu’il nous a volé.
Là où ça tourne vraiment au gag, c’est quand, le 7 novembre, il s’offusque en majuscules (ce qui revient à crier, sur internet) : « SCANDALEUX : UNE PARTIE DE L’ARGENT DES SOCIÉTAIRES DU MÉDIA SERT À FINANCER LA PROPAGANDE PRO-TRUMP… ET TOUT LE MONDE S’EN FOUT ? »
Il vise ainsi le fait que le Média soit titulaire d’un compte « blue », devenu payant depuis le rachat de Twitter par Musk.
Mais dans le même mouvement, notre irascible imposteur relaie un tweet de Thomas Dietrich qui a lui-même un compte X « blue » (affublé de la fameuse « coche bleue »), c’est-à-dire depuis un compte payant, exactement comme le Média, et comme la plupart des comptes de médias ou de journalistes, tels que David Dufresne, l’Informé ou Street Press, médias dont Antoine relaie volontiers les publications sans trouver jamais à y redire.
Entendons-nous bien : nous ne reprochons ni à Thomas ni au Média d’avoir souscrit à un moment donné un abonnement Twitter pour obtenir un peu de visibilité. Tous les médias, indépendants ou non, sont bien embêtés par la main-mise de Musk sur ce réseau qui leur a été très utile, et la migration vers Bluesky, Threads et, dans une moindre mesure hélas, Mastodon, semble bien engagée. Mais l’hypocrisie d’Antoine nous volant notre compte X pour y reprocher au Média d’avoir un compte X et y relayer le compte X certifié de Thomas, ça élève le grotesque à un niveau cosmique, tout de même.
Mais ce n’est pas tout. L’univers des impostures d’Antoine semble effectivement infini. Le voici en effet encore qui déverse ses sarcasmes à l’occasion de l’arrivée du Média sur Bluesky, en lui reprochant de ne pas être sur Mastodon. Noble combat que celui pour l’utilisation des logiciels ou réseaux libres et décentralisés comme Mastodon ou PeerTube, bien sûr.
Mais vérification faite : l’excellente chaîne « Chroniques de Françafrique » pour laquelle Antoine a donné (et donne peut-être encore) un coup de main à Thomas Dietrich n’en a pas non plus, de compte Mastodon. LOL
La mauvaise foi d’Antoine est ici d’autant plus intersidérale qu’en réalité, le Média, lui, a bel et bien un compte Mastodon depuis 2019 : @lemediatv@video.lemediatv.fr.
Certes, il s’agit « seulement » d’un compte alimenté automatiquement par les vidéos du Média postées sur son instance PeerTube (l’équivalent libre de YouTube), où la chaîne Chroniques de Françafrique n’est pas présente non plus, soit dit en passant (LOL), mais il reste très malhonnête de prétendre attendre « toujours » sur Mastodon un média qui y est depuis des années, quand celui pour lequel on œuvre (ou du moins a oeuvré) n’y est même pas. Tout Antoine est là.
Bien entendu, Antoine est tout à fait libre de dénigrer le Média si ça lui chante, comme nous sommes libres de réfuter ses mensonges et ses contre-vérités . Sauf qu’il ne le fait pas en son nom sur un compte lui appartenant. Usurper les comptes des socios engagé·e·s pour faire croire qu’il parle en leur nom est une escroquerie doublée d’une bonne dose de malfaisance, qui lui permet de développer ses thèmes favoris sous une couverture volée, sans endosser la responsabilité de ses actes. Ce faisant il porte préjudice à notre collectif et aux efforts que nous déployons pour une coopération active entre les acteur·ice·s de la SCIC du Média.
L’affaire Cemil
Le 21 octobre, une socio demande sur le forum où est passé Cemil, qu’on ne voit plus depuis un mois à l’écran du Média. Antoine se jette aussitôt sur cet os sans attendre que l’intéressé ait communiqué. Deux jours plus tard, il publie donc sur les réseaux des captures d’écran du forum et des insinuations (« les mieux informé·e·s savaient que ça sentait fort le brûlé », « ça ne sent pas bon ») sans aucun élément à l’appui, se substituant à Cemil qui n’annoncera que le 18 novembre qu’il quitte le Média, avec notamment ces mots : « Après plus de 3 années au Média, je retourne à la pige et file vers d’autres aventures. C’est avec un mélange de soulagement et de tristesse que j’ai décidé de partir après un reportage à la fin d’une ultime émission diffusée en direct le 23 septembre 2024. Le Média est une toute petite machine médiatique complexe, et fragile, dans un paysage médiatico-politique français en proie à l’extrémisme fascisant. Rien que pour cela, il faut la soutenir, même si, moi, j’ai dû raccrocher. Je reste fier de ce que j’y ai accompli. Les centaines d’émissions, d’entretiens, de reportages. »
Nous l’avons dit sur le forum sans détour : ce nouveau départ d’un salarié en CDI vers le monde plus précaire de la pige interroge, surtout que Cemil n’est pas le premier dans ce cas et qu’il y a là comme un pattern. Nous pouvons relayer auprès du Conseil de surveillance les paroles ou revendications de salarié·e·s ainsi que les témoignages de celleux qui sont parti·e·s, et même réclamer à partir de là des prises de décision, mais contrairement à ce tartuffe malsain d’Antoine, nous ne parlons pas à la place des gens et nous n’allons pas nous répandre en insinuations stériles sur les réseaux. Cemil a dit qu’il avait dû « raccrocher », ce qui confirme que des choses sont à changer dans le fonctionnement interne du Média, mais il appelle aussi à « soutenir » cette « toute petite machine médiatique complexe et fragile » (dans le contexte fascisant) qu’est le Média. Antoine qui passe son temps à cracher sur le Média en usant de comptes qu’il nous a volés aurait pu méditer ce message.
Au fait, il y a un propos de Cemil qu’Antoine s’est bien gardé de relayer :
Dans une nouvelle salve de tweets enragés le 29 novembre (on vous épargne nombre d’autres imprécations plus anecdotiques), Antoine se défoule à nouveau vainement sur X (tiens tiens, toujours pas parti, le puriste ?), enfonçant à nouveau des portes ouvertes, balançant des insinuations sans jamais énoncer de faits vérifiables, sous prétexte que « notre rôle n’est pas de jeter des noms en pâture », ce qui évite très commodément d’avoir à exposer la moindre preuve et d’endosser la responsabilité d’accusations précises. Notons qu’Antoine, seul et unique maître à bord de son radeau d’imposture, persiste à essayer de se faire passer pour un « collectif ».
Il est plaisant qu’il nous accuse, nous les authentiques Socios Engagé·e·s élu·e·s pour siéger au Conseil de surveillance (non comme représentant·e·s des socios, comme devrait le savoir ce tartuffe d’Antoine, mais comme représentant·e·s des sociétaires issu·e·s du collège des Socios) de n’avoir « jamais voulu engager le bras de fer » contre « la direction ». C’est exactement le contraire qui s’est produit, en réalité : quand nous avons voulu concrètement nous opposer aux bannissements arbitraires sur le forum, créer le serveur discord « Sauvons le Média », publier l’appel à « reconstruire le projet coopératif« , exiger que l’AG 2024 soit mixte (ordinaire et extraordinaire) et que la procédure prévue au Règlement Intérieur pour recueillir des propositions de résolutions soit enfin respectée, rédiger nos propres propositions pour l’AG, qui s’est dégonflé et n’a participé à rien ? Antoine.
Enfin, nous qui avions été purgé·e·s des Volontaires bénévoles et banni·e·s ou menacé·e·s de l’être du forum, voire d’être destitué·e·s du CS, nous nous sommes accroché·e·s, avons candidaté pour siéger au CS et y faire de notre mieux pour améliorer le fonctionnement interne du Média, nous avons bataillé pour garantir la régularité du tirage au sort, et une fois élu·e·s, nous avons argumenté pour faire voter à l’unanimité par le CS la publication des compte-rendus et la création d’une commission pour la relance du bénévolat, ce qui remet en cause l’opacité des décisions et la purge des bénévoles imposées dans la période précédente par le Directoire. Où était Antoine quand il fallait engager ce bras de fer-là contre une direction qui nous avait bien montré en plusieurs occasions qu’elle voulait se débarrasser de nous ? Il n’a pas du tout été de ce combat. Il n’a strictement rien fait. Il s’est défilé une fois de plus. Il faut croire que c’est plus facile de rager sur les réseaux sous couvert de comptes volés ou usurpés que d’affronter l’adversité à visage découvert au sein des instances de la coopérative et d’essayer d’y convaincre d’autres sociétaires de la nécessité de changer certaines choses.
Mais le mensonge le plus outrancier est pour la fin, quand Antoine ose une inversion accusatoire particulièrement gonflée : car bien évidemment, c’est lui qui a censuré notre collectif en essayant d’imposer son point de vue minoritaire contre la majorité, en saccageant notre ancienne page Facebook, en s’accaparant notre ancien compte Twitter et notre ancien compte Instagram, en détruisant notre ancien compte Twitch et nos serveurs Discord. Il n’y a que notre chaîne YouTube qui a heureusement échappé à sa folie destructrice. Le reste, nous avons dû le reconstruire. Et ce qu’il ne supporte pas, au fond, c’est que nous ayons réussi facilement et rapidement à remonter la pente.
A suivre…
NB : on préfère en rire, mais on n’aurait rien contre écrire « The End » non plus. A bon entendeur…
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